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11 juin 2007 1 11 /06 /juin /2007 19:24
Et Lullabulle dirait: "oh, lui, il va drainer... Son train train d'écrivain, son clic affranchi, son laboratoire secret filant des lignes de hasard, il va raconter sa vie sans se soucier que le cher lecteur, sa soeur, puisse ou non identifier de quoi il cause et de toute façon que tu connais, des choses qui s'associent entre elles en fonction de liaisons familières à tes oreilles, d'une manière qui danse avec les habitudes".

Un des oiseaux rares, peut-être ceux dont parle Fabrice, raconte son voyages au Maroc deux fois. Il connait Serge Michel, il a lu un de ses livres.

J'ai travaillé sur le blog de Castor et toujours pas répondu à Ze Blase. Je ne sais plus à quel poème marocain lui fait penser mon envolée adèle. " Un, deux, trois...

Les quatre plus gros Fonds dits de Pension disposent aujourd'hui de moyens aussi importants que les budgets nationaux des 60 pays les moins riches du monde et déclenchent par leurs mouvements autonomes et obéissant à leur logique propre, d'importantes répercussions sur la vie des gens..." Ecrit-il.

J'ai travaillé sur Balzac et j'ai songé à Annie Ernaux Ou est ma place? J'ai acheté un livre à elle qui s'appelle La honte mais il est chez un mécano. Et un mécano, ici, c'est plus utile qu'un livre, doit encore penser grand-père dans sa tombe. Sa place. Ou peut-être a-t-il adopté le point de vue de l'esprit. En tout cas, la demoiselle d'Azerbaïdjan n'a pas voulu de mon travail de tâcheron pour que je lui écrive sa thèse sur Balzac. Ou moi pas voulu de son salaire de misère pour qu'elle puisse rentrer au pays avec les lauriers. Les lauriers de la Comédie humaine, ce qu'on ne ferait pas pour de l'argent? Un pastiche d'une leçon de violon.

Merci Jocelyne
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